• 05/07/2019
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Le Village de la Croix Blanche et Le Foyer du Petit Jer : 20 ans !

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Ce mois-ci, deux établissements de la Fondation ont fêté leurs 20 ans : Le Foyer du Petit Jer à Lourdes (Hautes-Pyrénées) et Le Village de la Croix Blanche d’Autun (Saône-et-Loire). Retour sur deux belles journées d’anniversaires.

Du monde pour fêter les 20 ans

À Lourdes, 140 personnes étaient présentes. La Maire de Lourdes, la députée et le Directeur Territorial ont remercié les équipes pour leur implication au quotidien. Un cocktail déjeunatoire a réuni tous les participants pour un moment convivial. « Ce format a beaucoup plu aux résidents. Ils ont apprécié les verrines et les légumes cuisinés à la plancha. Certains nous demandent de réitérer l’expérience. Il y avait une belle synergie durant cette journée », souligne Sabine Olivier, Directrice de l’établissement.

À Autun, ce sont près de 300 personnes qui se sont réunies : résidents, familles, salariés, représentants de la commune, responsable du CCAS et le Directeur Territorial. L’ambiance et le temps étaient au beau fixe. Les travailleurs de l’ESAT voisin « Les Papillons Blancs » ont fait découvrir aux invités des produits locaux (fleurs, miel, confiture ou encore fromage). « Nous avons pu profiter d’un déjeuner gastronomique durant lequel d’anciens salariés nous ont fait l’honneur de leur présence. Ensuite, une association de danse folklorique est venue. Tout ça nous a permis de passer une journée placée sous le signe de la joie », déclare Arnaud Audard, le Directeur.

Chanteurs montagnards et couleurs de la Fondation

À l’occasion de sa deuxième décennie, Le Foyer du Petit Jer a accueilli un groupe de chanteurs montagnards en tenues traditionnelles. « Certaines familles ont dansé, c’était très convivial. Simple et joyeuse, cette journée a ravi les résidents qui ont passé un bon moment entourés de leurs proches et des équipes salariées de l’établissement », évoque la Directrice.

À Autun, il n’y a pas seulement l’établissement qui a été fêté. « Nous voulions marquer le coup pour nos 20 ans. Une vingtaine de salariés ont plus de 15 ans d’ancienneté. Pour les reconnaître, nous leur avons donné des chapeaux jaunes. Les salariés présents depuis plus de 10 ans portaient des chapeaux verts ; et ceux présents depuis moins de 10 ans des chapeaux violets. Nous avons mis les couleurs de la Fondation à l’honneur. Outre les chapeaux, il y avait un code vestimentaire : hauts blancs et pantalons aux couleurs de la Fondation. Le rendu était très sympathique ». L’animatrice du Village de la Croix Blanche a rédigé une chanson en l’honneur des salariés que tous ont chanté en chœur.

L’inauguration du PASA

La journée anniversaire d’Autun a été l’occasion d’inaugurer le PASA de l’établissement avec la découpe du ruban et la visite du jardin thérapeutique. Ouvert le 6 mai, le PASA a déjà permis de constater des progrès chez certains résidents. « Nous avons mis l’accent sur la décoration de la salle principale. Très moderne, elle est chaleureuse, accueillante et favorise le climat de confiance pour nos résidents. La douzaine de résidents qui vient au PASA est heureuse des ateliers proposés : entre activités créatives, cuisine thérapeutique, balnéo et salle Snoezelen, les petits groupes sont même déçus de ne pas pouvoir y aller le week-end », souligne Arnaud Audard.

Le PASA est géré par quatre salariés volontaires, dont une psychologue et une aide-soignante. L’équipe se réunit tous les 15 jours pour faire un bilan afin d’ajuster le temps d’activités, les groupes et les types d’ateliers. « Rien n’est fixe ou obligatoire. Aucun résultat n’est attendu : ceux dont le bilan gériatrique est validé par la psychologue et le médecin coordinateur, qui veulent venir au PASA sont les bienvenus. Nous ne forçons personne à venir. »

Une journée type au PASA commence par un café en groupe, puis suivent les activités du matin. Les résidents et l’équipe encadrante déjeunent ensemble, puis regardent un film et reprennent des activités. « Nous sommes heureux que ce projet soit concrétisé. Nos résidents ont des problèmes de mémoire ou de langage. Le PASA leur permet de répondre à leur besoin de contact », conclue le Directeur.